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Affichage des articles du juillet, 2008

La cible

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Je me rends à la Réserve naturelle de Munchhausen pour y photographier les nombreux lestes vert. Hélas, en cette heure orageuse et chaude, je suis rapidement la cible d'une nuées de moustiques !

Emergence d'une libellule (fin)

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A 50 cm de la libellule émergeant de son exuvie, je découvre une autre grande libellule (environ 80 mm). Elle est presque sèche et a déployé ses ailes. Je peux la photographier facilement (les pieds dans l'eau) car elle est parfaitement immobile. Elle élève ensuite sa température corporelle en faisant frémir ses ailes pendant de longues minutes. Quelques secondes d'inattention et je la vois s'envoler sans que je puisse immortaliser la scène...

Emergence d'une libellule

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En haut, l'exuvie de la jeune libellule La libellule se sépare de son exuvie L'exuvie ou enveloppe de la libellule à l'état larvaire La libellule sèche son corps dilaté Frustré par mes clichés flous de l'Aeschne bleu, je retourne tôt à l'étang du Heimbach, bien décidé à le capturer à ce moment de la journée où il vole moins vite ou peu parce qu'il se réchauffe. Malgré le peu de lumière (l'étang est dans l'ombre du Hohenbourg), les Aeschnes restent insaisissables et se disputent entre mâles. Je décide d'explorer les berges et découvre un insecte en train de dévorer une libellule. Quelques secondes de lucidité plus tard, je comprends que l'insecte prédateur qui s'agite au dessus de la libellule n'est que son exuvie dont elle émerge.

Bredouille ou presque

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A chaque visite, j'ai repéré de grandes libellules patrouillant à la surface de l'étang du Heimbach. Je décide de m'y rendre afin de les photographier. A peine arrivé, je repère un spécimen qui inspecte la rive de l'étang à vive allure. Je me poste et tente pendant une heure environ de le capter. J'obtiens assez vite une collection d'images floues ou dénuées de tout insecte ! L'unique cliché exploitable (mais flou) m'a permis d'identifier un mâle mature Aeschne bleue. La patience, la chance (et sans doute une technique plus adaptée) ne seront pas superflues si je souhaite obtenir des photos réussies de cette grande libellule !

Sous le soleil exactement

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Je me rends tôt en un lieu du Delta de la Sauer où j'ai repéré de grandes libellules. Toujours en vol ou haut perchées, presque impossibles à photographier dans la journée. En ce matin clair, elles sont moins mobiles et se chauffent au soleil. Je parviens à les approcher mais les hautes herbes m'empêchent de cadrer comme je le souhaite. En l'état de mes connaissances, je ne parviens pas à les identifier formellement : je ne crois pas qu'il s'agisse de Gomphes ou de femelles Orthétrum, elles sont plus petites. Probablement des Sympétrums jaunes.

Lumière du matin

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Caloptéryx vierge (femelle) Il y a encore peu de lumière en cette partie encaissée du Delta de la Sauer. Cette femelle Caloptéryx est le seul spécimen de son espèce que je croise depuis que la pluie a cessé.

Les Lestes du Delta

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Les lestes verts sont apparus en quelques rares endroits du Delta de la Sauer. Distants des autres espèces de libellules présentes, je les découvre presque un mois plus tôt que les années précédentes. Ce qui m'épate : les retrouver d'année en année aux mêmes places à quelques mètres près !

Flashé !

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Leste vert, Munchhausen Apparu depuis quelques jours sur les berges de la Sauer, le leste vert se laisse facilement approcher. Ailes écartées, il se réchauffe au soleil. Il se pose sur une tige, s'envole une ou deux secondes et se place à peu près au même endroit, ce qui permet de cadrer la 1ère fois puis de faire la mise au point et déclencher au 2è atterrissage. Lorsque sa température corporelle le lui permet, le leste rejoint les frondaisons protectrices des saules pour y passer la nuit.

Vroum !

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Orhétrum réticulé Presque arrivé à la petite écluse qui permet d'inonder le Fahrgiessen depuis le Rhin, je repère quelques grandes libellules. Plus grandes que les sympétrums, je ne parviens pas à les identifier formellement. Un mâle sombre, presque noir, me nargue depuis son perchoir (un saule) pendant que plusieurs femelles jaunes vrombissent. Trop éloigné, je ne réussis pas à les photographier. Un court instant, sur le chemin du retour, cette vieille femelle (?) pose quelques trop brèves secondes.

Réunion

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Agrions du Fahrgiessen

Madame Agrion du Fahrgiessen

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Agrion du Fahrgiessen Les grandes libellules ont déserté le Fahrgiessen. Seules les demoiselles envahissent les hautes herbes. Telle cette discrète agrion.

Beaucoup de vent

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Sympétrum sanguin Le vent ne faiblit pas ce matin. Les libellules semblent faire du 200 km/heure, les paisibles agrions sont presque impossibles à saisir. Seul ce sympétrum m'accorde quelques secondes pour lui tirer le portrait.

Les agrions du 14 juillet 2007

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Les agrions du 14 juillet 2007

Etang du Heimbach

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Caloptéryx, 24 juin 2007 Je passais très souvent par l'étang du Heimbach pour rejoindre le château du Fleckenstein ou simplement profiter de la foret en contournant Lembach. Je ne m'y arrêtais pas jusqu'à ce 24 juin 2007 lorsqu'un reflet métallique virevoltant à vive allure attira mon regard : mon premier Caloptéryx éclatant ! J'utilisais mon 300mm pour le saisir à travers les herbes et les plantes d'eau. La netteté n'est pas très bonne. Heureusement, j'ai depuis eu l'occasion d'obtenir des captures plus détaillées.

15 juillet 2008

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Sympétrum sanguin Agrion Peu de libellules aujourd'hui. Le niveau du Rhin et de ses bras morts s'est élevé d'un peu moins d'un mètre et les joncs qui abritent les caloptéryx se retrouvent éloignés des rives (et de mon APN).

Caloptéryx du Fahrgiessen

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Caloptéryx du Fahrgiessen, Delta de la Sauer.

Sympétrum sanguin

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Sympétrum sanguin mâle Sur la rive Est du Fahrgiessen, les sympétrums mâles se laissent approcher. Les femelles jaunes restent à distance, leur vol est plus rapide. Elles se posent brièvement au sommet des hautes herbes et s'élèvent vers le feuillage protecteur des saules.

30°C à l'ombre

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Les libellules semblent avoir déserté le Fahrgiessen aujourd'hui. Seuls les crapauds se réchauffent au soleil.